Intervention de prévention du VIH pour les toxicomanes : examen de la littérature

Format
Scientific article
Publication Date
Published by / Citation
Elkbuli et al. Substance Abuse Treatment, Prevention, and Policy (2019) 14:1 https://doi.org/10.1186/s13011-018-0189-7
Original Language

Anglais

Country
États-Unis
Keywords
drug use disorder
HIV/AIDS
Injection drug users
Behavioral interventions
Intervention effectiveness
sexual behavior
Universal HIV prevention interventions

Intervention de prévention du VIH pour les toxicomanes : examen de la littérature

Abstrait

Fond

Des interventions comportementales sont nécessaires pour prévenir le VIH chez les toxicomanes, qui est associé à un risque plus élevé de contracter le VIH par des rapports sexuels non protégés ou une exposition à base de seringues. Nous avons passé en revue les interventions universelles de prévention du VIH ciblant les utilisateurs de drogues injectables (UDI) et non-UDI (IPU) afin de déterminer quelles interventions de prévention sont les plus efficaces pour réduire le risque de transmission du VIH chez les UDI et les UDI et identifier les lacunes dans le Littérature.

Méthodes

A PubMed literature review (1998-2017), limitant les études aux interventions universelles de prévention du VIH ciblant les adultes séropositifs. Les interventions ont été comparées selon la taille de l’échantillon, le contexte sociodémographique, le cadre d’intervention, la conception de l’étude, l’utilisation de modèles théoriques et les effets d’intervention.

Résultats

Sur les 1 455 études identifiées, 19 iDE ciblées(n ' 9) et NIDUs(n ' 10). Les études de l’UDI et de l’UDI ont été menées dans des centres de traitement de la toxicomanie et comprenaient les deux groupes (44 % contre 73 %). et à base individuelle (56 % contre 27 %) méthodes; une seule étude du NIDU a utilisé une intervention en couple. Toutes les UDI, et 89 % des NIDU, ont utilisé des modèles explicatifs et de changement de comportement pour orienter la sélection des mécanismes d’intervention. La réduction de la fréquence des comportements sexuels à risque a été observée dans 33 % des ÉTUDES sur les UDI et 64 % dans les UDI, où 56 % des études d’UDI ont effectivement augmenté l’hygiène liée à la consommation de drogues et 67 % ont diminué la fréquence des injections. Huit études comprenaient le dépistage du VIH au début de l’étude et cinq ont examiné la séroconversion du VIH.

Conclusion

Les interventions examinées démontrent des résultats prometteurs pour la diminution des pratiques sexuelles à risque pour les URNI et la réduction des pratiques de médicaments à haut risque pour les UDI, réduisant ainsi le risque de transmission du VIH. Les études futures devraient inclure le dépistage du VIH et la mesure de la séroconversion du VIH afin d’élucider pleinement les effets de l’intervention.